Securimed tiers-payant
  • Premier Office de Tarification tiers-payant pour médecins-spécialistes et dentistes
  • Vérification de l'assurabilité des patients
  • Défense juridique contre les poursuites du SECM (Service du contrôle médical de l'INAMI)
  • Traçabilité des paiements par les OA

Dentistes sociaux, exigez la transparence et la protection juridique de Securimed



Securimed reçoit de plus en plus de plaintes émanant de dentistes travaillant dans des centres médico-dentaires sociaux – pratiquant donc le tiers-payant – et appartenant souvent, il faut bien le dire… à des médecins, dont nous préférons taire l’origine.

Dans la version la plus douce de ce genre d’histoire, le dentiste social est payé après des délais de plus en plus longs : trois mois, puis quatre, puis cinq, etc.

S’il réclame, on lui verse de petits acomptes – des miettes comparé à ce qui lui est réellement dû – afin de le faire patienter.

L’explication est toujours la même : « La mutuelle n’a encore rien payé ! », alors que la loi SSI prévoit expressément que les OA sont tenus d’honorer les prestataires dans les deux mois*.

Certes, ce comportement abusif procède d’une réticence viscérale à décaisser de l’argent, combinée à un sentiment d’invulnérabilité par rapport au dentiste social, surtout s’il est étranger.

Mais il résulte aussi d’un calcul particulièrement vicieux, destiné à « fidéliser » le dentiste social : celui-ci reste dans le centre, tout simplement… parce qu’il attend perpétuellement son argent : s’il part, il perd tout espoir de recevoir un jour ses honoraires arriérés.

Dans la version la plus dure, cela va très loin : le centre rajoute des codes de prestation à l’insu du dentiste social et prétend que la mutuelle a « perdu » (sic) une partie de ses attestations, si bien que son profil INAMI et donc sa déclaration fiscale sont complètement faussés.

Le dentiste social, déjà appauvri par l’absence de revenus, devient carrément un suspect aux yeux de l’INAMI et du fisc – sans que le centre ait pris le moindre risque, puisque c’est le malheureux qui a tout signé !

En outre, pour bien intimider le dentiste social – très souvent étranger et mal instruit des règles belges -, le centre prétend qu’il connaît quelqu’un dans un ministère ou à l’INAMI, ou encore invoque des textes légaux imaginaires.

Dans ce scénario, le dentiste social étranger est véritablement réduit à un état de quasi-esclavage professionnel : il travaille aujourd’hui pour « mériter » qu’on lui paie ce qu’on lui devait déjà il y a six mois !

Jusqu’au jour où il se révolte contre un tel système et quitte la Belgique… pour être instantanément remplacé par un nouvel arrivant. Et le cycle recommence…

Evidemment, on l’aura compris, ces centres douteux disposent d’un petit ordinateur et d’une imprimante grâce auxquels ils facturent sans jamais compromettre leurs propriétaires.

Et quand survient le Service du contrôle médical de l’INAMI, ces centres abandonnent le dentiste social à son sort, sans lui apporter la moindre aide juridique : que risquent-t-ils, en effet, puisqu’il est seul à avoir signé les attestations et qu’il peut être remplacé sur-le-champ ?

En résumé, il n’y a donc ni transparence concernant les montants introduits en tiers-payant, ni protection en cas de poursuites par le Service du contrôle médical de l’INAMI.

En revanche, les grands centres dentaires sociaux – éthiques ceux-là – font appel à Securimed pour leur facturation en tiers-payant, garantissant ainsi à leurs nombreux collaborateurs : transparence totale en matière d’honoraires et sécurité juridique.

De tels centres conservent longtemps leurs collaborateurs – payés correctement – et s’épargnent également un travail pénible de tri, d’encodage, d’expédition et de vérification.
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* Avec Securimed, le payement intervient bien avant l’expiration de ce délai des deux mois, parfois même après deux semaines…