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Di Rupo craint « un bain de sang social » en cas de « gouvernement des droites »

24 mars, 2014 par admin

(Belga) Le Premier ministre Elio Di Rupo, entré en campagne dimanche, craint « un bain de sang social » en cas de « gouvernement des droites ». Interrogé au micro de Bel RTL, il s’est opposé aux coupes budgétaires au niveau fédéral envisagées par d’autres partis.

« On sent qu’il y a manifestement une volonté de la droite de former un gouvernement des droites. S’il devait y avoir ce schéma, je peux vous dire que ça serait un bain de sang social », a affirmé M. Di Rupo. Il a rejeté les propositions d’économies émises par d’autres partis. « On ne peut pas dire qu’on va récupérer 10 à 15 milliards sur l’Etat fédéral. L’Etat fédéral, c’est d’abord la sécurité sociale, ce sont des policiers, des membres de la Justice, des gens qui travaillent au ministère des Finances, des gardiens de prison. Que va-t-on faire ? Les supprimer ? Ce n’est pas sérieux », a-t-il poursuivi. Le PS propose de son côté de « réinjecter trois milliards d’euros pour les personnes qui travaillent » grâce à des mesures de lutte contre la fraude et une taxe sur les grands patrimoines, a-t-il répété. Questionné sur son image, cultivée notamment à l’occasion de l’arrivée des deux pandas de Pairi Daiza, M. Di Rupo a démenti avoir pris la pose délibérément. « Vous pensez réellement que je suis allé (sur le tarmac de l’aéroport) avec une peluche ? C’est une peluche que le pilote de l’avion m’a remise et que j’avais en main. C’est même humiliant de penser que je puisse y aller avec une peluche », a-t-il dit.

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Critères de remboursement des implants oraux après 70 ans

21 mars, 2014 par Dr R. BOURGUIGNON et LSD D. HATZKEVICH

QUESTION :

Bonjour ; dites-moi s’il vous plaît quelle est la règle pour que la mutuelle rembourse les deux implants inférieurs après 70 ans.

Avant, il fallait attendre un an après le placement de la prothèse. Est-ce toujours le cas ? Faut-il introduire une demande à la mutuelle ou justifier le « dysfonctionnement » ?

REPONSE :

La réponse est dans la nomenclature :

308512 308523 * Placement de deux implants ostéo-intégrés dans le maxillaire inférieur édenté en cas de dysfonctionnement grave d’une prothèse amovible complète qui satisfait aux conditions fixées dans l’article 6, § 5bis, à partir du 70e anniversaire L 1860 P 77

Et l’art. 6, § 5bis :

§ 5bis. Implants oraux

Le droit à l’intervention de l’assurance pour les prestations 308512-308523 et 308534-308545 est unique et subordonné aux conditions suivantes, qui doivent toutes être réalisées complètement :

1) l’assuré doit être depuis au moins 12 mois porteur d’une prothèse amovible inférieure complète sur un maxillaire inférieur totalement édenté;

2) cette prothèse amovible inférieure complète doit présenter une occlusion, une articulation, un ajustement et un design corrects, doit avoir au moins 12 mois, et avoir bénéficié d’un remboursement d’une prestation de la rubrique « Prothèses dentaires amovibles, consultations comprises » de l’assurance obligatoire ou de l’assurance complémentaire pour les indépendants;

3) à 5) : critères techniques

6) les données techniques relatives aux matériaux utilisés – les implants, piliers et ancrages – doivent être conservées dans le dossier dentaire du patient.

L’intervention de l’assurance pour les prestations 308512-308523 est unique et rembourse l’intervention chirurgicale, le matériel utilisé, le suivi et si éventuellement nécessaire le remplacement pendant 12 mois après placement.

Aucune autorisation préalable du médecin-conseil de mutuelle n’est donc requise : c’est le dossier dentaire qui doit démontrer que les critères réglementaires ont été respectés.

Télécharger : Circulaire.pdf

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« La classe moyenne flamande doit craindre le pire » des propositions du PS

14 mars, 2014 par admin

Belga) La N-VA a critiqué les propositions fiscales présentées jeudi par le Parti socialiste. « La classe moyenne flamande doit craindre le pire », a réagi le président du parti, Bart De Wever. Selon lui, « la Flandre aura à choisir entre le modèle PS, avec plus d’impôt et la mort lente du système social, et le modèle N-VA avec moins d’impôts et plus de place pour l’économie ».

« On dirait bien que le PS veut tordre le cou à ce qui reste de notre compétitivité », estime M. De Wever, qui déplore que les propositions socialistes « ne consacrent aucune attention ou presque aux nouvelles économies ». « Le PS est en train de construire des châteaux socialistes en Espagne », poursuit-il. « La classe moyenne flamande doit craindre le pire. Qui travaille, épargne ou entreprend sera enseveli sous un tsunami fiscal ». Bart De Wever estime que le PS veut mener la politique « la plus asociale qui soit », parce qu’elle ne réduit pas le coût du travail. Il appelle le CD&V et l’Open Vld à choisir entre le modèle PS et le modèle N-VA. Les deux partis, a priori plus proches des thèses de droite défendues par les nationalistes, « doivent expliquer comment ils pensent mettre en œuvre leurs priorités » s’ils participent à une nouvelle coalition avec le PS.

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Sept Belges sur dix ne vont pas chez le dentiste

13 mars, 2014 par admin

(Belga) Sept Belges sur dix ne vont pas chez le dentiste, a indiqué jeudi l’Union Nationale des Mutualités Libres dans un communiqué. Seuls 31% des Belges se rendent chaque année chez le dentiste.

Or, depuis 2009, les moins de 18 ans peuvent prétendre au remboursement intégral de leurs soins dentaires et l’accès à ces soins s’est également amélioré pour les adultes. Plusieurs facteurs influent sur cette tendance. L’âge d’abord: les adultes entre 18 et 30 ans et les personnes de plus de 50 ans ont tendance à délaisser la visite annuelle chez le dentiste. Le sexe ensuite: les hommes ont plus tendance que les femmes à ne pas consulter (différence de 47%). Enfin, une différence existe également entre les régions: en Wallonie, le risque de ne pas consulter le dentiste est de 20% plus élevé qu’en Flandre et à Bruxelles. L’Union nationale des Mutualités libres note également que, malgré le coût peu élevé des soins pour les bénéficiaires de l’intervention majorée (BIM), ces derniers se rendent deux fois moins chez le dentiste que les non bénéficiaires.

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