Securimed tiers-payant
  • Premier Office de Tarification tiers-payant pour médecins-spécialistes et dentistes
  • Vérification de l'assurabilité des patients
  • Défense juridique contre les poursuites du SECM (Service du contrôle médical de l'INAMI)
  • Traçabilité des paiements par les OA

Le nombre de travailleurs pauvres augmente également en Belgique

31 janvier, 2014 par admin

(Belga) Le nombre de personnes qui travaillent et reçoivent en même temps un revenu d’intégration en complément, parce que les revenus qu’elles tirent de leur travail sont trop faibles, est en augmentation. Il est passé en dix années de temps de 3 à 6 pc des bénéficiaires du revenu social d’intégration. Cela représente aujoud’hui près de 6.000 personnes, selon les chiffres du SPF Intégration sociale rapportés vendredi par le quotidien De Standaard.

Le chiffre de 6.000 personnes peut sembler peu élevé au regard de pays tels que le Royaume-Uni et l’Allemagne, où il n’y a pas de salaire minimum et où les « travailleurs pauvres », ou « working poor », constituent un groupe important. « Ici l’adage voulant que le travail est la meilleure garantie contre la pauvreté est toujours d’application », indique le président du SPF Intégration sociale, Julien Van Geertsom. Parmi ces près de 6.000 « travailleurs pauvres », les femmes sont majoritaires et près de la moitié d’entre elles ont des enfants. Les emplois de ces travailleurs se retrouvent presque tous dans le secteur privé, souvent dans le secteur intérimaire, l’horeca, le petit commerce, le nettoyage ou le secteur socio-culturel. Ce phénomène semble davantage survenir en Flandre, alors que la Wallonie et Bruxelles comptent proportionnellement deux à trois fois plus de bénéficiaires du revenus social d’intégration que la Flandre.

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Protégé : Le bilan de Mme Onkelinx

30 janvier, 2014 par Dr R. BOURGUIGNON

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Elections14 – De Wever tête de liste pour la Chambre dans la circonscription d’Anvers

29 janvier, 2014 par admin

(Belga) Le président de la N-VA, Bart De Wever, sera, comme attendu, tête de liste pour la Chambre dans la circonscription provinciale d’Anvers, aux élections du 25 mai, selon un communiqué de presse diffusé avant un « collège électoral » du parti qui se tient mercredi soir. Figure de proue de son parti, Bart De Wever investit donc bien la scène fédérale, tout en refusant de se déclarer candidat Premier ministre.

« Je veux être la figure de proue de notre parti, le symbole du changement politique que tant de gens attendent », indique Bart De Wever dans ce communiqué. « Il va falloir convaincre un maximum de Flamands de nous soutenir si nous voulons mettre en oeuvre une politique sans le PS », précise-t-il.

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Le Conseil d’Etat torpille définitivement la méthode d’extrapolation…

28 janvier, 2014 par Dr R. BOURGUIGNON et LSD D. HATZKEVICH

Après l’arrêt du Conseil d’Etat du 7 mai 2013, certains — dont Laurette Onkelinx — pensaient que la méthode d’extrapolation utilisée par le SECM avait encore d’assez beaux jours devant elle.

Nous avons d’ailleurs relaté, dans notre News du 13 décembre 2013 intitulée Le “procès de l’extrapolation” s’est tenu ce 12 décembre 2013, une audience d' »après la fin de l’extrapolation ».

Dans son rapport dans une autre affaire, traitée celle-ci beaucoup plus scientifiquement par Securimed entre 2009 et 2012, l’Auditeur du Conseil d’Etat Denis Delvax torpille littéralement cette méthode, qualifiée d' »illégale ».

Securimed avait même été jusqu’à demander à un professeur de biostatistiques de l’ULB de donner son avis sur l’extrapolation pratiquée par le SECM.

Ce dernier avait en outre reconnu par inadvertance — et fort tard dans le cours de la procédure — que les cas « réguliers » avaient été exclus de l’échantillon, et que le coefficient d’extrapolation avait été déterminé sur base des seuls cas « infractionnels ».

Autrement dit, se posait également la question de l’honnêteté même du SECM…

Dans la mesure où neuf fois sur dix le Conseil d’Etat suit l’avis de l’Auditeur, une autre décision de Philippe Laurent sera bientôt cassée et l’affaire renvoyée devant une Chambre de recours autrement composée.

Cette nouvelle décision de la haute juridiction administrative infligera un cruel désaveu à tous ceux qui — comme Michel Devriese — ont condamné des dispensateurs sans égard pour la légalité de leurs propres décisions…

Télécharger : Rapport de l’Auditeur.pdf

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En Flandre, un enfant sur trois de moins de cinq ans est d’origine étrangère

27 janvier, 2014 par admin

(Belga) Un enfant sur trois de moins de 5 ans est d’origine étrangère en Flandre, ressort-il d’un rapport sur la politique d’intégration de l’administration flamande. Tous âges confondus, la proportion s’élève à 17,5 pc de la population, soit 1,1 million de personnes.

Le rapport prend en compte les personnes de nationalité étrangère ou dont la première nationalité n’est pas belge, ou encore des enfants dont un parent est dans cette situation. Près de la moitié des personnes recensées sont originaires d’un pays de l’Union européenne, dont une majorité des pays voisins. Quinze pour cent proviennent du Maghreb et 10 pc d’un pays candidat à l’Union, dont la Turquie. Dans certaines villes, la proportion de personnes d’origine étrangère avoisine les 50 pc. A Genk, elle est de 54 pc; à Maasmechelen, de 44 pc; à Vilvorde, de 43 pc et à Anvers, de 42 pc. La part de personnes d’origine étrangère va croissant chez les jeunes. Elle s’élève à 32 pc chez les moins de 5 ans et dans certaines villes et communes, il s’agit même de deux enfants sur trois. A Bar-le-Duc, où résident de nombreux Néerlandais, elle atteint 81 pc pour 73 pc à Maasmechelen, 72 pc à Genk, 68 pc à Vilvorde et 67 pc à Machelen. Ce rapport met en avant le statut socio-économique de ces personnes, qualifié de dramatique par le ministre de l’Intégration, Geert Bourgeois, à propos des ressortissants non-européens. Leur taux d’activité est inférieur à 50 pc tandis que ceux qui travaillent gagnent trop peu leur vie. Dans 60 pc des cas, ils se trouvent dans la tranche 0 – 100 euros bruts par jour. M. Bourgeois mise notamment sur une meilleure connaissance du néerlandais pour une amélioration de la situation de ces personnes. « Au niveau flamand, nous investissons dans un mouvement de rattrapage en relevant, entre autres, le niveau linguistique, grâce à des parcours linguistiques plus intensifs au VDAB et en misant sur l’immersion linguistique dans l’enseignement fondamental », a-t-il expliqué.

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